de la mission FPC
En effet, même en supposant que d’ici juillet 2020 les rassemblements soient autorisés, maintenir le camp comporterait de trop gros risques :
• Les participants viennent de plusieurs continents : Amérique du Nord, Afrique, Europe dans lesquels la pandémie n’a pas démarré au même moment. Nous ne savons pas à quelle étape de développement se situera en juillet chacun des pays concernés ;
• La durée, et donc la fin, de l’épidémie sont évaluées de manières diverses par les scientifiques ;
• Nous ignorons les restrictions, les mesures sanitaires qui s’imposeront à la fin de la crise et les traces qu’elle laissera dans les communautés ;
• Si notre rassemblement international dans un même lieu se transformait, par la présence d’une personne infectée, en un foyer de propagation, l’impact sur la réputation de nos différentes Églises évangéliques et de la mission serait catastrophique ;
• Nous n’avons pas la possibilité de bien préparer les événements compte-tenu des restrictions actuelles.
Bien sûr, nous sommes tristes et déçus au vu de toute l’énergie déjà déployée pour la préparation, et de la joie que nous aurions eu à transmettre la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ cet été. Notamment dans une période où les Français ont certainement davantage de questions existentielles et spirituelles.
Finalement, ce report nous laisse une année de réflexion et de prière concernant la forme à donner à cet événement, notamment du fait de la transmission de sa direction de Jeannot Gauggel à Régis Perrin.
Mission FPC
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